Qu'est-ce qui ne va pas avec le féminisme moderne ?
Qu'est-ce que le féminisme et pourquoi est-il controversé ?
Le terme "féminisme" est souvent perçu comme ambigu. Wikipédia le définit comme « un ensemble de mouvements sociaux, politiques et d’idéologies visant à définir, établir et réaliser l’égalité politique, économique, personnelle et sociale des sexes ». Si le féminisme semble appeler à la libération, il s’agit en réalité, selon certains, d’une quête de privilèges de genre dissimulée sous le concept d’égalité. En niant certaines réalités humaines fondamentales, le féminisme moderne s’éloigne d’une véritable quête de justice.
Les féministes affirment que les femmes ont toujours été déshumanisées par une société dominée par les hommes, qu'elles appellent le patriarcat, et que le statut d'homme a toujours été préférable. Toutefois, cette affirmation unilatérale omet les privilèges dont les femmes ont parfois bénéficié simplement en raison de leur genre. Ces privilèges sont rarement reconnus par les féministes, car ils demeurent invisibles pour ceux et celles qui en jouissent.
Dans la majorité des espèces, des abeilles aux primates, les rôles diffèrent selon le sexe, en lien avec des capacités biologiques spécifiques. Pourtant, certaines approches féministes affirment que toutes les différences de genre chez l’humain sont des constructions sociales, sans fondement biologique. Or, de nombreuses études ont démontré l’influence de la testostérone sur le développement musculaire, la compétitivité, la confiance en soi et la prise de risque — des traits qui prédisposent les hommes à exercer des rôles plus physiques, compétitifs ou dangereux. Grâce à cette hormone, les hommes sont en moyenne plus rapides, plus grands, plus endurants et plus forts. Il est donc trompeur d’enseigner à une jeune fille qu’elle pourra, par nature, rivaliser avec les hommes dans tous les domaines.
Pourquoi le féminisme moderne ne répond pas aux besoins des femmes
Un examen juste et objectif des statistiques met en lumière la complexité plus profonde du sujet :
- 10,4 millions de familles américaines sont dirigées par des mères célibataires qui subviennent seules aux besoins de leur foyer, selon le Bureau du recensement des États-Unis.
- Plus d’un million d’enfants sont avortés chaque année aux États-Unis, selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC).
- 683 000 femmes sont victimes de viol chaque année aux États-Unis, soit environ 78 femmes par heure, selon le ministère américain de la Justice.
- 1 320 femmes sont tuées chaque année par leur mari ou leur petit ami, ce qui représente environ quatre femmes par jour.
- Selon le site officiel du gouvernement de l’État du New Jersey, environ trois millions de femmes subissent chaque année des violences physiques de la part de leur conjoint ou ex-conjoint.
- 22,1 % des femmes américaines déclarent avoir été victimes de violences physiques de la part d’un mari ou d’un petit ami (actuel ou ancien), selon le ministère américain de la Justice.
- Un rapport du Bureau des statistiques du travail des États-Unis indique que la majorité des femmes en Occident occupent des emplois peu valorisés et mal rémunérés. Malgré les politiques incitatives en faveur de l'emploi féminin, 97 % des postes de direction restent occupés par des hommes.
- 78 % des femmes dans les forces armées américaines déclarent avoir été victimes de harcèlement sexuel de la part de collègues militaires.
- Selon le New York Times, environ 50 000 femmes et filles sont victimes chaque année de traite des êtres humains aux États-Unis, réduites en esclavage et forcées à se prostituer.
- L’exploitation du corps des femmes à travers diverses formes de permissivité constitue une industrie estimée à 12 milliards de dollars par an aux États-Unis, selon un rapport de Reuters.
- Une étude menée dans 14 pays révèle que 42 % des Britanniques admettent avoir des relations extraconjugales, contre 50 % des Américains, 38 % des Italiens et 36 % des Français, selon la BBC.
Il existe une multitude de pages sombres, souvent ignorées, concernant la situation des femmes dans la civilisation occidentale matérialiste, toutes documentées sur des sites officiels occidentaux, reconnus comme des sources fiables et dignes de confiance.
L'agenda féministe tordu des gouvernements laïques
Le système en vigueur dans les pays occidentaux laïques repose sur une vision libérale de la société. Il encourage et promeut le libéralisme, qui vise à maximiser la liberté individuelle, l'autonomie personnelle et l'égalité. En d'autres termes, ce modèle valorise l'adoration du « moi » et place l'individu au centre, souvent au détriment de la famille, de la communauté ou de valeurs collectives. Dans une société laïque et libérale, tout gravite autour de l’individu. Le système est structuré de manière à orienter chacun vers un mode de vie standardisé : l’esclavage salarial et le modèle de la famille à double revenu, où le mari et la femme doivent tous deux travailler pour subvenir aux besoins du foyer. Autrefois, une famille pouvait vivre décemment grâce au seul revenu du père, tandis que la mère restait à la maison pour élever les enfants. Aujourd’hui, le système a évolué vers une norme où les deux parents sont contraints de travailler à l’extérieur, habituellement au détriment de la stabilité familiale.
Mais qu’en est-il des enfants ? Ils sont confiés à des institutions de scolarisation de masse. Et les bébés, trop jeunes pour aller à l’école ? Eux aussi sont pris en charge par des structures de garde collectives. Quant aux personnes âgées, trop âgées pour continuer à travailler comme des esclaves salariés, elles sont placées dans des établissements de soins de masse. Tout le monde est institutionnalisé. Les hommes sont séparés de leurs femmes, les parents de leurs enfants. Les liens naturels entre les individus sont brisés. Les connexions organiques sont rompues. Les relations humaines normales, celles qui devraient exister spontanément, sont détruites.
Un exemple frappant de cette rupture du lien est la séparation entre une mère et son enfant. Dans la nature, dans le règne animal comme dans toutes les sociétés humaines traditionnelles à travers le temps et l’espace, la mère et l’enfant sont toujours restés ensemble. L’éloignement de la mère n’est pas naturel, surtout à un âge aussi précoce. Cette séparation est incroyablement dure, profondément éprouvante tant pour la mère que pour le bébé. Elle va à l’encontre de leur nature respective et vient perturber leurs besoins les plus fondamentaux, affectant leur bien-être émotionnel, physiologique et psychologique.
Souvent, ce n’est ni la faute de la mère, ni celle d’une personne en particulier. La pauvre mère est fréquemment — bien que pas toujours — contrainte, par nécessité, de laisser son bébé à une garderie, confié à des inconnus, pendant qu’elle part travailler. Bien souvent, elle n’a tout simplement pas le choix. Les mères célibataires sont aujourd’hui nombreuses, en particulier dans une société où la zina (fornication) est largement répandue, banalisée, dépourvue de honte, et même activement encouragée — par la société dans son ensemble, et parfois même par les parents eux-mêmes. L’individualisme, quant à lui, est présenté comme une valeur essentielle, presque sacrée.
Quel est le résultat de tous ces « droits », centrés de manière obsessionnelle sur l’individu et ses plaisirs éphémères ? Les droits des autres sont ignorés, piétinés. Les enfants souffrent et sont abandonnés. Les mariages se détériorent et finissent par mourir. Les familles nucléaires se fragilisent et s’effondrent. La famille élargie se délite. Les liens de parenté se brisent. La communauté se désorganise. La société s’affaiblit. Et, à terme, les civilisations s’effondrent.
Les gouvernements font avancer l’agenda féministe par l’intermédiaire des médias et de leurs agences, comme la CIA (Central Intelligence Agency — agence centrale de renseignement en français). Ils s’appuient sur des figures publiques, telles que Gloria Steinem — journaliste et militante américaine — pour promouvoir ces idées dans une stratégie à long terme. Concrètement, en incitant les mères à travailler, on pousse les enfants à être placés en crèche dès leur plus jeune âge, parfois même avant six mois. Ainsi, ces enfants sont institutionnalisés très tôt, exposés dès leurs premières années à l’idéologie que le gouvernement souhaite leur inculquer. Le but : façonner des individus plus dociles, plus faciles à contrôler dans la société une fois devenus adultes.
L'islam : une solution naturelle pour la justice entre les hommes et les femmes
Allah a grandement honoré les femmes. Il les élève en tant que filles, mères et épouses, leur accorde des droits, des vertus, et les appelle à un comportement noble — souvent dans une mesure qui ne s’applique pas de la même manière aux hommes. L’islam ne nie en rien l’humanité des femmes ; bien au contraire, il la reconnaît pleinement, lui accorde des droits et la place en haute estime. Avant l’islam, les femmes n’avaient pas droit à l’héritage, et certaines étaient même enterrées vivantes — une pratique tragique parmi tant d’autres injustices. Puis l’islam est venu, interdisant formellement cet acte odieux, le considérant comme un meurtre, donc un péché majeur. L’islam a accordé aux femmes leur part d’héritage, leur a permis d’acheter, de vendre, de posséder des biens et les a encouragées à rechercher la connaissance et à appeler à Allah. Il a ordonné qu’elles soient honorées en tant qu’épouses et en tant que mères, allant jusqu’à donner à la mère trois fois plus de droits qu’au père. Et ce ne sont là que quelques exemples de la manière dont l’islam a honoré les femmes.
L’islam propose un système totalement différent — un système élégant et raffiné, qui établit un équilibre subtil entre les droits de chacun : l’individu, la famille, les enfants, les parents, la communauté et la société. Les droits les plus essentiels et fondamentaux de chaque partie sont garantis de manière équilibrée, afin que nul ne soit lésé, que la nature humaine soit respectée, et que la fitrah (disposition naturelle innée) soit préservée. La dignité des enfants, des mères, des pères et des personnes âgées y est assurée. Leurs besoins, reconnus et respectés.
Allah nous dit dans le Coran :
Ô hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement.
Coran - 4:1(interprétation du sens)
L’islam est le seul système qui répond à l’ensemble des besoins humains, respecte les droits naturels de chacun, et organise la société en parfaite harmonie avec notre nature humaine innée — sans jamais la corrompre ni la détruire. Il encadre la manière dont nous interagissons avec nos enfants, nos parents, nos frères et sœurs, nos voisins, nos amis, et même les étrangers. L’islam renforce l’amour intuitif que nous éprouvons pour nos proches et nourrit les relations humaines organiques, profondes et authentiques. Comment ? Par des enseignements divins, des prescriptions éthiques et des règles de vie qui élèvent, purifient et protègent chaque lien social, familial et communautaire.
Grâce à des mécanismes intégrés à notre religion — tels que la répartition des rôles entre les sexes, où le mari assume les responsabilités financières et où la femme a la liberté d’être mère au foyer auprès de ses enfants — l’islam protège l’équilibre familial. Grâce au birr al-wâlidayn (la bienfaisance envers les parents), le respect et la reconnaissance envers les parents sont institutionnalisés. Grâce au silat ar-rahim (le maintien des liens de parenté), un filet de sécurité est préservé : la famille élargie reste soudée, le soutien mutuel est encouragé, et la transmission de l’héritage familial et spirituel est assurée. Dans un système islamique, il serait extrêmement rare qu’une mère soit séparée de son bébé six semaines après l’accouchement. Cette proximité préserve la mère et l’enfant de la souffrance causée par une séparation précoce, contraire à leur nature. À l’inverse, dans le système laïc occidental, cette séparation dès les premières semaines est non seulement fréquente, mais souvent considérée comme normale.
L’islam reconnaît et prend en compte les différences subtiles entre les hommes et les femmes, car Celui qui a révélé l’islam est aussi Celui qui a créé les hommes et les femmes, avec toute la richesse de leurs similitudes et de leurs différences. Dans cette perspective, une égalité strictement symétrique serait en réalité injuste, car elle imposerait à un sexe de se conformer aux normes et aux rôles propres à l’autre — au mépris de sa nature et de ses besoins spécifiques.
Si les féministes reconnaissent que les sexes sont différents et que, par conséquent, les femmes devraient être traitées avec équité plutôt qu’égalité stricte, en admettant qu’il soit légitime d’introduire des variations dans la législation pour tenir compte de ces différences — alors où tracer la ligne de démarcation ? En réalité, chaque cas de traitement différencié pourrait être justifié par la nature même des différences entre les sexes. Chaque distinction de rôle pourrait être expliquée à la lumière de ces différences fondamentales dans la création et la disposition naturelle des hommes et des femmes.
Pourquoi les femmes devraient-elles être principalement socialisées pour assumer le rôle de gardiennes maternelles, tandis que les hommes sont socialisés pour devenir les soutiens de famille ? Différence de nature. Pourquoi les femmes doivent-elles s’habiller d’une certaine manière, différente de celle des hommes ? Différence de nature. Pourquoi les femmes ne peuvent-elles pas être imams (chefs religieux), alors que les hommes assument ce rôle ? Différence de nature. Pourquoi le rôle de khalifa (calife) ou la direction de l’État devraient-ils être réservés aux hommes ? Différence de nature.
Toutes les différences entre les sexes peuvent être justifiées par la distinction naturelle entre les hommes et les femmes — ce qui constitue un véritable cauchemar conceptuel pour la philosophie féministe. Pour échapper à cette impasse, les féministes se voient contraintes de défendre une égalité en miroir. Mais cette position engendre, à son tour, de nombreuses contradictions et conflits internes, comme nous l’avons déjà observé. Il ne s’agit là que d’un des nombreux problèmes conceptuels qui minent la pensée féministe — des problèmes dont l’islam et la charia sont entièrement exempts. Allah a assigné à chacun d’entre nous une place, un rôle et une responsabilité distincts, que ce soit dans la société ou au sein de la famille. Et au Jour du Jugement, Il ne nous évaluera ni selon notre richesse, ni selon notre statut social, notre fonction, ou notre pouvoir — autant de critères qui obsèdent les idéologies matérialistes — mais selon un seul critère : notre taqwa, notre conscience sincère de Dieu.
L'incompréhension de l'islam et des droits des femmes
Les malentendus liés à l’islam proviennent en grande partie d’un manque de connaissance — d’une ignorance du statut véritable de la femme dans les enseignements islamiques : de la haute estime dont elle jouit, des droits qui lui sont reconnus, de la manière dont l’islam protège sa dignité, et des prescriptions claires ordonnant aux hommes de les traiter avec bienveillance, sans jamais les maltraiter. Certains feront remarquer que, dans certaines sociétés musulmanes, des femmes sont opprimées ou maltraitées, en contradiction flagrante avec les principes islamiques. Mais l’islam n’en est nullement responsable : ces abus relèvent de comportements individuels ou de pratiques culturelles déviantes, contraires à la religion. La faute en revient à ceux qui les commettent, et c’est à eux qu’Allah demandera des comptes. De telles injustices ne doivent jamais être attribuées à l’islam.
Deuxièmement, des malentendus naissent également lorsque l’on ne prend pas en compte la réalité concrète des sociétés laïques à travers des chiffres officiels et des statistiques fiables, qui reflètent ce que vivent réellement les femmes dans ces contextes. Trop souvent, on se laisse séduire par certaines libertés apparentes, sans voir les conséquences profondes qu’elles peuvent dissimuler. Il est essentiel d’attirer l’attention sur la reconnaissance internationale des phénomènes alarmants de harcèlement sexuel, de viol et d’exploitation sexuelle — des faits largement documentés et évoqués dans les médias du monde entier. Par exemple, selon un sondage de la BBC, une femme britannique sur deux a été confrontée à différentes formes de harcèlement sexuel. En France, le Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) a rapporté que 100 % des femmes utilisant les transports publics ont été victimes, à un moment ou un autre, de harcèlement ou d’agression sexuelle.
Avec l’avènement de l’islam et de ses enseignements clairs et spécifiques, la condition des femmes a connu une transformation profonde — marquant le début d’une nouvelle ère, radicalement différente de celle qui la précédait. Les femmes ont alors commencé à bénéficier de droits individuels, sociaux et humains, tels qu’aucune autre civilisation ne leur avait auparavant garantis. La base des enseignements islamiques concernant les femmes se trouve dans le noble Coran lui-même. Allah dit dans le Coran :
Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne œuvre tout en étant croyant, alors Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et Nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions.
Coran - 16:97(interprétation du sens)
L’islam considère que la femme, tout comme l’homme, est un être pleinement libre et indépendant. Il affirme que cette liberté fondamentale s’applique à tous, hommes et femmes, sans distinction. Allah dit dans le Coran :
Quiconque fait une bonne œuvre, c’est pour son bien. Et quiconque fait le mal, il le fait à ses dépens. Ton Seigneur, cependant, n’est point injuste envers les serviteurs.
Coran - 41:46(interprétation du sens)
Le mariage constitue le fondement de la vie familiale et l’unité de base de la société islamique. Il établit entre les époux des droits et des devoirs mutuels, dans un cadre d’engagement, de respect et de responsabilité. Allah dit dans le Coran :
Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent.
Coran - 30:21(interprétation du sens)
Dans le cadre du mariage, les hommes ont la responsabilité de veiller sur les femmes, de subvenir à leurs besoins, de les protéger et de les guider avec bienveillance et sagesse. Ils sont chargés d’assumer ce rôle de manière juste, conformément aux principes de l’islam. Allah dit dans le Coran :
Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah (par exemple, leur chasteté et les biens de leur mari) ...
Coran - 4:34(interprétation du sens)
En tant que mère, la femme est honorée et respectée par ses enfants, plus encore que ne l’est le père. Cela témoigne de la place éminente qu’elle occupe en tant que cœur et âme de la famille — et, par extension, de la société. Il a été rapporté qu’Abu Hurayrah (qu’Allah soit satisfait de lui) a dit :
Le Prophète ﷺ (que la paix soit sur lui) a dit : « Ta mère, ta mère, ta mère, puis ton père » lorsqu’un compagnon lui demanda qui méritait le plus d’être honoré.
Sahih Muslim, 2548
En résumé, l’islam considère la femme comme un pilier essentiel de la société ; elle ne doit donc en aucun cas être traitée comme une entité dépourvue de volonté ou de capacité de décision.
Le système islamique ne repose pas sur l’individualisme égoïste. En islam, les femmes ne sont pas au service des hommes, et les hommes ne sont pas au service des femmes. Nous servons Allah en nous soutenant mutuellement, en répondant aux besoins des uns et des autres, avec la conscience que les êtres humains ne sont pas identiques dans leur nature ni dans leurs fonctions. L’islam propose une solution claire, naturelle et juste pour garantir l’équité entre tous les êtres humains — bien loin des tentatives vaines du féminisme de « réinventer la roue » qu’Allah a mise en mouvement il y a plus de 1 400 ans.
Source:
islamqa.info
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islamqa.info
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islamqa.org (AskImam.org)
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muslimskeptic.com
Traduit par:
Sarah Julien